Le FAUTEUIL SENAT est un meuble créé en 2010 par Berny SAUNER au sein de SAOSIGN STUDIOS pour la chaine Public Sénat. L’objectif visé pour la conception de ce siège habillé de tissu Kvadrat (Divina) est d’allier le confort d’assise - par se proportions harmonieuses et une qualité de maintien corporel du plus haut niveau – et la satisfaction des exigences de tenue des invités face aux caméras. Son accoudoir unique permet de coupler deux pièces en petit canapé ou de les accoler par les accoudoirs en ouvrant les deux assises vers l’extérieur. La profondeur et la largeur de l’assise permet également de s’y positionner entièrement, jambes repliées et adossé au dossier agréablement disposé.
Edités dans des couleurs vives et lumineuses, les FAUTEUILS SENAT sont distribués en salon chez les particuliers, dans des lobbys d’entreprises, dans des galeries et des musées, sur plusieurs plateaux TV.
Le JOKER est un meuble créé par Berny SAUNER en 2003 au sein de Vitriol Factory. Il fut présenté au salon du meuble de janvier 2004. Habillé d’un tissu Kvadrat (Divina), il est sur roulettes. C’est un meuble conçu pour des échanges rapprochés et la relaxation, pour oublier les coussins et se caler, il offre de multiples solutions d’assise confortables et non conventionnelles. Le JOKER a habillé plusieurs plateaux T
V et fait partie du mobilier de « l’école du futur » développé par Skool pour la petite enfance.
Le JOKER incarne un esprit audacieux. Cette création est un cocon sensoriel, typique de la génération vautrée, cherchant de nouvelles attitudes pour de nouveaux conforts.
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La série CLOSE-UP plonge le spectateur dans l’intimité d’un feuillage traversé de lumière à l’automne.
Nées d’un lâcher-prise intense, plongeant dans un puissant branchage d’arbre, la série CLOSE-UP se libère de la figuration pour créer son propre monde pictural aux couleurs et contours suaves ouvrant sur des paysages imaginaires.
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La série VEGETALE célèbre la nature dans son foisonnement et sa vitalité communicative.
L’ESCALIER, lien entre l’homme et la nature, nous invite à embrasser le ré-ensauvagement.
Réminiscence des Tropiques, appel du printemps... l’immersion y est contrainte, parfois vertigineuse. Le sujet se dérobe. Ce qui était figuratif se met à flirter avec l’abstrait.