Olivia Devos
Je suis née en 1976 en Provence, puis j’ai vécu en Guadeloupe jusqu’à mes études d’Arts. Aujourd’hui je suis installée en Eure et Loir depuis 2007.
Entre ciel et terre, mon geste s’élabore pour capter le furtif.
Tous les jours je rencontre des oiseaux et les observe, ils peuplent mon quotidien. Ma peinture leur rend hommage et j’aime saisir leur beauté.
Mes séries d’oiseaux sont aussi une manière de nous rapprocher d’eux et de toucher de l’œil ce que le vivant a de fragile et de puissant.
Je m’inspire de planches naturalistes et j’y ajoute une dimension sentimentale, poétique et intuitive.
La couleur devient l’expression de mes perceptions, nourrie par mes voyages, mes déplacements, mes changements d’espace et de lumière. Elle est aussi résonnance avec leur chant.
« Oiseaux, copeau de vie, envolé de la varlope du charpentier du monde, parcelle de substance aristocratique, molécule d’être, point d’espace. Oiseaux, pollen vivant, véhicule des germes et des causes, ligne d’Ange, cœur de cœur. Je vous ai, oiseaux, appeler mes frères dans la plénitude de la fraternité, je vous ai distribué les symboles suprêmes, sous les apparences du pain je vous ai donné les profondes essences de mon être. Ma langue ailée, ma cervelle et mon cœur. »
Extrait de « François d’Assise » de Joseph Delteil.
Je choisis des supports qui guident mes idées et m’offrent un terrain d’expérimentation pour travailler mon geste, ma matière et l’espace.
J’ai réalisé des fresques sur des murs lisses ou granuleux, j’ai choisi des affiches ou du papier photos recyclés qui m’ont permis d’étirer la matière acrylique.
Pour cette série, c’est le papier Arche ; granuleux, poreux où la couleur liquide s’imprègne, la matière s’estompe et les oiseaux ponctuent, accrochent le regard.
Entre ciel et terre, mon geste s’élabore pour capter le furtif.
Tous les jours je rencontre des oiseaux et les observe, ils peuplent mon quotidien. Ma peinture leur rend hommage et j’aime saisir leur beauté.
Mes séries d’oiseaux sont aussi une manière de nous rapprocher d’eux et de toucher de l’œil ce que le vivant a de fragile et de puissant.
Je m’inspire de planches naturalistes et j’y ajoute une dimension sentimentale, poétique et intuitive.
La couleur devient l’expression de mes perceptions, nourrie par mes voyages, mes déplacements, mes changements d’espace et de lumière. Elle est aussi résonnance avec leur chant.
« Oiseaux, copeau de vie, envolé de la varlope du charpentier du monde, parcelle de substance aristocratique, molécule d’être, point d’espace. Oiseaux, pollen vivant, véhicule des germes et des causes, ligne d’Ange, cœur de cœur. Je vous ai, oiseaux, appeler mes frères dans la plénitude de la fraternité, je vous ai distribué les symboles suprêmes, sous les apparences du pain je vous ai donné les profondes essences de mon être. Ma langue ailée, ma cervelle et mon cœur. »
Extrait de « François d’Assise » de Joseph Delteil.
Je choisis des supports qui guident mes idées et m’offrent un terrain d’expérimentation pour travailler mon geste, ma matière et l’espace.
J’ai réalisé des fresques sur des murs lisses ou granuleux, j’ai choisi des affiches ou du papier photos recyclés qui m’ont permis d’étirer la matière acrylique.
Pour cette série, c’est le papier Arche ; granuleux, poreux où la couleur liquide s’imprègne, la matière s’estompe et les oiseaux ponctuent, accrochent le regard.